On dit qu’un commercial dans le paysage doit savoir convaincre, écouter et argumenter. C’est vrai, un bon chargé d’affaires écoute et interroge, plus qu’il ne parle.
Savez-vous que 80% de nos actions émanent directement de nos émotions ?
On dit qu’un commercial dans le paysage doit savoir convaincre, écouter et argumenter. C’est vrai, un bon chargé d’affaires écoute et interroge, plus qu’il ne parle.
Savez-vous que 80% de nos actions émanent directement de nos émotions ?
C’est pourquoi le commercial doit être aussi capable d’être observateur des émotions du client. Connaissez-vous une vente qui se fasse sans émotion ? Certes, acheter son jambon blanc toutes les semaines ne procure pas beaucoup d’émotion. Mais acheter les services d’un aménagement de jardin ?
Imaginez, tout ce qui se joue pour le client :
- Il imagine l’esthétique des lieux qui va embellir son cocon familial
- Il rêve à certaines espèces de végétaux et de fleurs qu’il affectionne particulièrement
- Il a peur d’un prix trop élevé pour son budget
- Il redoute un commercial trop agressif…
La liste est longue. Il est essentiel que le commercial paysager soit en mesure de s’adapter à ces émotions :
- D’entendre le plaisir ou la joie du client à rendre son extérieur plus beau
- De répondre à ses attentes d’espèces particulières
- De rassurer par rapport au respect de son enveloppe budgétaire
- De générer un relationnel fluide et bienveillant
Tout repose sur l’écoute avec un grand E, comme Empathie.
Le commercial va écouter, observer, se mettre à la place du client pour respecter les émotions de celui-ci. Si elles sont respectées, la vente est facilitée.
Et vous, où en êtes-vous de la vente avec la gestion des émotions ?